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Les prisons françaises, ces universités du terrorisme

Photo du rédacteur: Stéphane Abdallah ILTISStéphane Abdallah ILTIS

Dernière mise à jour : 27 août 2019

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمٰنِ الرَّحِيْمِ


C'est toujours la même histoire : les mecs deviennent tous "terroristes" en prison, comme par miracle.


Alors il se passe quoi dans les geôles de la raie publique ? Il y a des sessions de formation accélérée en terrorisme, des cursus universitaires d'islamisme en télé-enseignement, des éducateurs en radicalisation... ?


Et curieusement, c'est toujours le même profil : des petits délinquants de banlieue et des lascars qui ne pratiquent pas l'Islam, et n'en connaissent absolument rien avant de rentrer au placard - mais qui en ressortent enragés.


Bref, des esprits suffisamment faibles pour recevoir un endoctrinement au faux jihad et à l'Islam caricatural ; car il est évident que des musulmans authentiques, éduqués par de vrais savants et Shuyukh, ne tomberaient pas dans ce piège grossier de la "radicalisation" qui fait le jeu du Système.


Car ce climat de terreur profite avant tout à l'oligarchie, lui servant de prétexte pour renforcer les mesures sécuritaires (état d'urgence) et renforcer son emprise totalitaire sur la population ; c'est même à se demander si elle ne le fabrique pas de toutes pièces ce climat, à grands coups de false flags, et si elle ne programme pas dans ses prisons ces "terroristes" assez idiots pour laisser leurs papiers sur les lieux de leurs méfaits.


Car les techniques de programmation mentale (MK Ultra) permettent de fabriquer de tels zombies (rappelons au passage que c'est la CIA qui a développé ces méthodes de manipulation, en récupérant après guerre tous les médecins des camps de concentration).


En tout cas, le phénomène de la radicalisation en prison pose question - alors même qu'on nous vend des programmes de "déradicalisation".


Alors de deux choses l'une : soit les prisons échappent à tout contrôle et sont carrément des camps de formation jihadistes, au nez et à la barbe des autorités ; soit au contraire elles sont parfaitement contrôlées par ces dernières, et ce phénomène de radicalisation résulte d'un travail délibéré de leur part.


En tout état cause, le simple fait de laisser faire est déjà criminel.


Les prisons françaises, ces universités du terrorisme - Blog - Stéphane Abdallah ILTIS

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