Stéphane Abdallah ILTIS

19 nov. 20202 Min

Un masque sur la bouche ou une plume quelque-part ?

Mis à jour : 12 avr. 2021

بسم الله الرحمن الرحيم

C'est absolument extraordinaire : on arrive à terroriser la population mondiale sur la base d'une fausse pandémie, et à la soumettre en lui imposant un bavoir aussi inutile que grotesque.

Ce qui n'est qu'un moyen de la préparer graduellement à la suite, testant ainsi sa servilité : car l'objectif est bien évidemment la vaccination obligatoire sur fond de chantage (pas de vaccin, pas de liberté sociale), avec tout ce qu'elle recouvre de nébuleux.

Les efforts délirants du système pour discréditer et bâillonner toute opposition, toute dissidence (du Professeur Raoult au film Hold-Up), suffit à attester d'un complot mondial.

C'est bien la dictature du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place – mais une dictature des prétextes : comme il s'agit de lâches qui n'osent pas affirmer l'arbitraire de leur domination, ils fabriquent des problèmes et de la terreur pour justifier leur emprise.

Et comme le faux terrorisme islamiste ne prenait pas assez vite et assez bien, ils ont sorti du chapeau le virus qui est une création intégrale – et qu'au demeurant avait "prophétisé" le sinistre Attali (cet histrion qui fait passer des plans établis pour des visions).

C'est bien le règne du mensonge et de la manipulation qui se met en place, sur fond d'élites politiciennes totalement corrompues, et d'institutions sous contrôle intégral (médias, finance, justice...).

Mais tout cela ne repose finalement que sur le consentement et la soumission des populations – car il suffirait d'un refus massif pour que tout cela s'écroule comme un château de cartes.

Et sur la complicité des forces de l'ordre, qui sont la cheville ouvrière de la domination ; car les représentants de la force publique ne peuvent pas dire qu'ils ne savent pas, ou qu'ils ne se doutent pas : ils ne peuvent pas dire qu'ils trouvent normal de séquestrer et de terroriser les populations en les matraquant à coups d'amendes coercitives ; ils ne peuvent pas dire que cette épidémie sans morts constitue un danger suffisant à légitimer la privation des droits fondamentaux, dont celui de circuler.

Mais le plus extraordinaire, c'est vraiment qu'on arrive à faire trembler la terre entière, et à l'affubler d'un masque grotesque – quand la plupart refusent encore de croire en Un Dieu Unique, de se soumettre à LUI, et de faire ne serait-ce qu'une prière.

Mais tout ceci explique peut-être cela ?

Cet asservissement et cette humiliation ne sont-ils pas les prémisses d'un châtiment douloureux ?

À chacun de voir.

Et que les sceptiques cyniques, et les mécréants convaincus, continuent de s'empresser de se soumettre à une élite qui les méprise, et à se couvrir la face à la première injonction.

Si on leur avait imposé une plume quelque-part, nul doute qu'ils s'en seraient parés avec le plus grand empressement.

Triste humanité...


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