Stéphane Abdallah ILTIS

3 janv. 20213 Min

Dessous ésotériques de l'affaire Rançon (et de bien d'autres à Perpignan)

Mis à jour : 12 avr. 2021

بسم الله الرحمن الرحيم

L'affaire Jacques Rançon révèle des connexions cachées dans le monde invisible, que ne peuvent percevoir que certains esprits doués du discernement et du dévoilement nécessaires :

Et quand on la rapproche d'autres signes, on comprend qu'elle n'est qu'un aspect d'une trame occulte qui met en jeu des forces diaboliques, où interagissent Shayatin humains et jinn dans le cadre d'un plan hautement satanique.

Plan qui voit se dérouler tout un culte morbide à la gloire d'Iblis لعنة الله عليه, fait de "créations artistiques" sordides et de sacrifices qui en sont l'exécution pure et simple.

Le tout étant étroitement interconnecté de manière occulte, et relevant d'un ésotérisme épais qui doit même échapper à la plupart des protagonistes – qui pour la plupart ne sont que des exécutants manipulés par les forces ténébreuses en action.

Ce sinistre et macabre déploiement ayant pour épicentre la ville de Perpignan – et ça n'est pas pour rien que cette ville est secouée depuis plusieurs décennies par des affaires criminelles particulièrement sordides et angoissantes, par ce qu'elles ont de fondamentalement malsain – toutes ayant pour dénominateur commun des meurtres à caractère sexuel sur des femmes ou des enfants, donc hautement sacrificiels (affaire Van Geloven, affaire Rançon, affaire Francisco Benitez, disparition de Tatiana Andujar, affaire Patrick Tissier, affaire Marc Delpech...).

Tout commence par le "délire artistique" de Dali, autour de la gare de Perpignan notamment (désignée par lui comme étant "le centre de l'univers"), qui aborde dans ses toiles des thèmes sataniques comme la sodomie ou la mutilation (les rapports sexuels par la voie anale et l'altération, la dégradation de La Création d'ALLAH ﷻ sont deux interdits divins – et les représenter est de l'ordre de la transgression pure, de la rébellion).

Et lorsque les meurtres de Rançon prennent pour point de départ la gare de Perpignan (il logeait en face), et qu'ils sont des copier-coller parfaits de deux toiles de Dali ("Le miel est plus doux que le sang" et "Le Spectre du sex-appeal"), les connexions sont évidentes : et il devient tout aussi évident que les toiles ont été l'ordre sacrificiel émanant du maître sorcier (consciemment ou inconsciemment – nous accorderons au peintre le bénéfice du doute, supposant qu'il aura été inspiré malgré lui par un Shaytan de haut rang, utilisé comme canal de transmission), et que le passage à l'acte par Rançon en a été l'exécution parfaite – via des jinn contrôlant un Rançon suffisamment faible d'esprit pour être manipulé.

Car, rappelons-le, les découpes sur le corps de la malheureuse Mokhtaria étaient d'une telle précision (quasi chirurgicale !) que les experts ont unanimement et formellement déclaré qu'elles ne pouvaient être le fait que d'un professionnel – chirurgien ou boucher ; et il ne saurait y avoir de hasard dans cette précision, et il est manifeste que Rançon seul n'a pas la science pour accomplir un tel travail, et qu'il n'a pu agir que sous le contrôle d'une entité qui, elle, avait la maîtrise technique.

Autre connexion troublante entre ces affaires : le meurtrier Marc Delpech, qui avait lui-même assassiné une autre jeune femme à la même époque, était passionné par ce qui n'était encore en ce temps-là que l'affaire (irrésolue) dite "des meurtres de la gare de Perpignan" – à tel point qu'il en faisait un roman aux similitudes troublantes avec les faits tels que nous les connaissons aujourd'hui, allant jusqu'à baptiser "son" assassin Jack (il ne pouvait savoir à l'époque que le vrai meurtrier s'appelait Jacques) : bien entendu ce faisceau de coïncidences n'a rien d'un hasard ; et il est évident que les forces maléfiques à l'œuvre lui ont inspiré ce roman, comme pour célébrer, commémorer par sa plume ces meurtres sacrificiels.

L'œil profane ne verra dans tout cela que le fruit du hasard, mais celui qui a sur le monde invisible en général, et sur le monde des ténèbres en particulier un regard autorisé, ne voit que trop bien le sinistre balai qui se joue là.

Et il sait que le monstre Rançon, et bien d'autres comme lui, ne sont en réalité que des marionnettes (préparées de longue date par les jinn subalternes qui les habitent et travaillent) aux mains des "vrais" diables initiateurs – peut-être même Iblis lui-même لعنة الله عليه – qui tirent les ficelles de ce sinistre guignol.



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