Stéphane Abdallah ILTIS

10 avr. 20212 Min

Art et criminalité : connexions sataniques

Mis à jour : 29 sept. 2021

بسم الله الرحمن الرحيم

Dans la série des connexions sataniques, et des interactions entre "art" et criminalité sacrificielle, rappelant étrangement l'affaire Jacques Rançon, on a l'affaire dite du "Dahlia Noir" – l'assassinat d'Elizabeth Short impliquant art plastique et chirurgie à travers des protagonistes comme le Dr George Hodel et le peintre surréaliste Man Ray.

Comme dans l'affaire Rançon, il existe de nombreuses références picturales au meurtre, dont la dimension graphique, à prétention "esthétique", n'échappe pas à l'œil averti ; le tout recouvrant une dimension ésotérique, à travers un symbolisme "subtil", tant dans les "œuvres" à "proprement" parler que dans la scène de crime (les mutilations et la disposition du corps sont "soigneusement" étudiées).

Cet article établit les connexions entre Man Ray et tous les membres du groupe surréaliste, dont Dali (dont l'ombre plane étrangement au-dessus de l'affaire Rançon), qui s'illustrent tous par des "œuvres" sordides et macabres, d'inspiration clairement subversive et éminemment satanique (l'art a bon dos) ; une "œuvre" de Dali, Minotaure (1936), aurait même pu inspirer, selon l'auteur de l'article, l'assassinat d'Elizabeth Short.

Quant-au médecin (lié à tout ce beau monde par Man Ray), ce qui transparaît de ses mœurs perverses laisse entrevoir une personnalité elle-même déviante et satanique.

Nul doute qu'on a affaire là à un réseau sataniste, dont le groupe surréaliste est une gentille façade qui a ouvert la voie à des "artistes" comme Marina Abramovic (en réalité une sorcière initiée) : sous des dehors fantaisistes et extravagants, et derrière de doux délires apparemment fantaisistes qui prêtent plus à sourire qu'autre chose, on se trouve en présence de dangereux illuminés à l'ésotérisme inquiétant, qui effacent les frontières de toutes les convenances sociales et humaines, toutes les barrières morales entre le bien et le mal, le beau et le laid, et pour lesquels la fiction la plus gore et la réalité tendent à se confondre ; et pour qui le crime rituel, dans ce qu'il a de plus sordide, revêt une dimension hautement esthétique et devient une forme d'expression artistique à part entière.

Car tout ce qu'entreprennent ces joyeux drilles, aussi bien en atelier que "sur le terrain" (vague), entre dans le cadre d'un culte à leur maître Iblis لعنة الله عليه ; culte caractérisé par une dimension sacrificielle récurrente, qu'on retrouve (comme dénominateur commun) dans toutes ses occurrences et manifestations, tant historiques que géographiques ; car il est patent que ses fans ne savent pas adorer Iblis autrement qu'en massacrant, découpant, saignant, éviscérant, torturant...

Aucune trace dans cette affaire, en revanche, d'entités du Ghayb comme des Jinn (alors qu'on peut envisager leur participation dans l'affaire Rançon), mais les humains, en matière de satanisme, se suffisent amplement à eux-mêmes et n'ont aucune leçon à recevoir de leurs homologues invisibles – bien au contraire...

Qu'ALLAH ﷻ maudisse tous ces Shayatin, comme Il a maudit leur maître Iblis لعنة الله عليه.



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